A mi-parcours de la COP26, les pays en développement ont fustigé mardi les engagements selon eux insuffisants des nations les plus riches.
Pourtant, la première semaine a vu des annonces significatives, du renforcement des objectifs de réduction des émissions de l'Inde, du Brésil ou de l'Argentine, à l'engagement d'une centaine de pays à réduire les émissions de méthane en passant par des promesses de sortie du charbon. Sans oublier, les promesses pour lutter contre la déforestation.
Du côté des militants comme la suédoise Greta Thunberg, on parle d'ores et déjà d'échec. Mais que peut-on attendre de ce genre de rendez-vous ? Sont-ils utiles ? Réponses avec Vincent Viguié, chercheur en changement climatique au CIRED.
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