Souvent non déclarés à la naissance, ils sont appelés enfants fantômes ou invisibles.
Derrière cette expression se joue le drame de plus 200 millions d’adolescents africains exclus du système éducatif.
Au Gabon, dans moins de deux semaines ce sera le début des cours sur l’ensemble du territoire national. Une reprise des chemins de l’école dont seront encore privés des milliers d’enfants.
A Libreville la capitale, comme à l’intérieur du pays, la réalité du phénomène donne le vertige. 7.400 enfants légalement invisibles restent en attente de leur acte de naissance.
Le reportage de notre correspondant à Libreville. Ismael Obiang Nzé
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