Plus de justice sociale, l'indépendance, la fin de la répression, le départ de tout le système... deux ans après la naissance du Hirak, les slogans sont restés les mêmes et les manifestants étaient de retour hier dans les rues de Kherrata pour crier leur ras le bol.
Dans cette ville, berceau de ce mouvement de contestation, des milliers de personnes ont défié le virus et les mesures préventives afin de célébrer le 2e anniversaire du Hirak qui avait chassé en 2019 le président Bouteflika du pouvoir.
Analyse de Massesen Cherby, universitaire chargé de cours à Sciences-Po Paris
Medi1TV